PRESSE
2020
Exposition « Lumière et couleurs » de Sylvie Basteau et Margot Royakkers au château Lescombes, Centre d’art contemporain–Eysines.
«… la nature reste au fond le sujet essentiel de Sylvie Basteau. La nature, et les éléments, et le vivant, que son regard intérieur projette sur la toile, le panneau ou le papier. On passe des rayons du soleil au vent, aux éclairs, aux secousses telluriques, aux espaces sidéraux. Ici, on se trouve devant des noyaux blancs qui explosent provoquant des traînées lumineuses dans un cosmos marron ocre. Là, on est captivé par des formes non identifiées sur fond laiteux ou encore par d’énigmatiques taches noires sur de fascinants camaïeux. Plus loin, de grandes ailes sombres semblent venir vers nous dans un vol silencieux…
Devant une œuvre de Sylvie Basteau, seul avec soi-même, on est amené à rêver, à laisser aller librement son imagination. Certes, ce que l’on interprète n’a peut-être rien à voir avec ce qu’elle pensait au moment de la création. Peu importe, le rêve est permis, l’œuvre lui échappe, elle est nôtre.
Pierre Brana, commissaire de l’exposition.
Exposition « Lumière et couleurs » de Sylvie Basteau et Margot Royakkers au château Lescombes, Centre d’art contemporain–Eysines.
«… la nature reste au fond le sujet essentiel de Sylvie Basteau. La nature, et les éléments, et le vivant, que son regard intérieur projette sur la toile, le panneau ou le papier. On passe des rayons du soleil au vent, aux éclairs, aux secousses telluriques, aux espaces sidéraux. Ici, on se trouve devant des noyaux blancs qui explosent provoquant des traînées lumineuses dans un cosmos marron ocre. Là, on est captivé par des formes non identifiées sur fond laiteux ou encore par d’énigmatiques taches noires sur de fascinants camaïeux. Plus loin, de grandes ailes sombres semblent venir vers nous dans un vol silencieux…
Devant une œuvre de Sylvie Basteau, seul avec soi-même, on est amené à rêver, à laisser aller librement son imagination. Certes, ce que l’on interprète n’a peut-être rien à voir avec ce qu’elle pensait au moment de la création. Peu importe, le rêve est permis, l’œuvre lui échappe, elle est nôtre.
Pierre Brana, commissaire de l’exposition.